Les conséquences d'un mauvais été

Les conséquences d'un mauvais été Les dépenses dans le food service ont diminué de 3% Le mauvais temps au troisième trimestre 2017 a porté un coup au foodservice. Après le boost de l'horeca au printemps de cette année, l'été humide et frais du troisième trimestre a fait l'effet d'une douche froide. Ainsi, au trimestre dernier, le nombre de visites et le montant moyen des dépenses ont diminué comparé à la même période en 2016. Le nombre de visites a chuté d'1% et les dépenses, de 3%. Par beau temps, les terrasses sont pleines à craquer et les boissons coulent à flots. Mais le nombre de fois où c'est arrivé au troisième trimestre fut considérablement plus faible que l'an dernier. Le sous-canal bars & drinks est donc celui qui a le plus souffert. En revanche, la météo semble avoir peu d'impact pour la restauration. Pour la restauration au travail, dans l'enseignement et dans le secteur des soins, on note une augmentation du nombre de visites. Et il n'y a que dans la ...